Essure® dans les médias


"Implants Essure : les soudures à l'étain mises en cause"

 

LE MONDE

23 décembre 2020

 

"Le défaut de conception de l'implant est passé sous le radar des agences du médicament, notamment en France et aux États-Unis."

 

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Communiqué de presse

 

Ministère des Solidarités et de la Santé

17 décembre 2020

 

Le comité de suivi des femmes porteuses du dispositif de contraception définitive Essure s'est réuni pour la 3e fois.

 

Plan d'actions : lire le communiqué


Essure dans la presse - Longwy
Essure dans la presse - Longwy

"Implants Essure® : 'Porter notre combat plus loin'"

 

LONGWY ET SON PAYS

22 août 2020

 

"Près de 200000 femmes ont reçu l'implant contraceptif Essure, interdit à la vente depuis trois ans, mais seulement 3500 d'entre elles ont adhéré à l'association qui aide les victimes de ce dispositif. 

 

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Image Les Echos (Hannelore Foerster/Bloomberg)
Image Les Echos (Hannelore Foerster/Bloomberg)

Etats-Unis : "Bayer passe à la caisse outre-Atlantique"

 

LES ÉCHOS

20 août 2020

 

"Le géant pharmaceutique allemand a annoncé qu'il allait débourser 1,6 milliards de dollars pour clore '90% des près de 39000 plaintes' déposées contre son dispositif de contraception définitive Essure. [...] Le groupe avait provisionné 1,25 milliard d'euros pour anticiper le risque de plaintes relatives à Essure." 


Les « belles années gâchées » d’une Bordelaise avec la contraception Essure®

 

RUE 89 - Bordeaux

Extrait de l'article du 7 août 2020

 

"Madeleine Bova (adhérente de R.E.S.I.S.T.) habite Bordeaux. Elle a été porteuse des implants contraceptifs Essure® du laboratoire Bayer durant huit ans. Comme des centaines d'autres femmes, elle a souffert de divers troubles neurologiques, musculaires et articulaires.

 

Son témoignage est le troisième de notre série : "Scandales sanitaires"."


Implants contraceptifs Essure® : son corps est devenu un champ de douleurs

 

LE DAUPHINÉ

Article du 19 juillet 2020

 

Marielle attribue ses symptômes aux implants contraceptifs Essure®, posés en 2014. 

« JE PENSAIS QUE JE DEVENAIS FOLLE »

 

Après l'accouchement difficile de son troisième enfant, le médecin lui déconseille de retomber enceinte. On lui propose Essure®, "simple, moins lourd qu'une ligature". Six mois après, les douleurs apparaissent. 

« Je me sentais comme dans le corps d’une mamie de 90 ans. [...] »

 

Un reportage à la télévision l'éclaire : « Ça a été la douche froide. Des femmes expliquaient leurs symptômes depuis la pose de ces implants. C’était exactement tout ce que j’avais. Exactement. J’ai trouvé une association sur Internet, qui m’a donné des renseignements supplémentaires. J’ai pris rendez-vous avec un chirurgien lyonnais habitué à explanter ces contraceptifs. Et je me suis sentie enfin comprise. Il m’a dit “non madame, ça n’est pas dans votre tête”. On a fait une IRM, mes implants avaient bougé dans les trompes, provoquant des saignements intenses lors de mes règles. Et j’avais développé une adénomyose en plus. Il a fallu enlever l’utérus et les trompes, en plus des implants. J’ai été opérée le 12 mai dernier. »

 

« Je suis tellement en colère contre le corps médical. Les implants Essure ne sont plus commercialisés depuis 2017 en France, de plus en plus de femmes révèlent de lourds problèmes liés à ces implants depuis 2015 et personne, dans le corps médical, ne m’a jamais expliqué ça. Personne n’a pris au sérieux mes symptômes. Il a fallu un reportage à la télévision pour que je découvre que ces implants m’empoisonnaient. Si je témoigne aujourd’hui, c’est pour les autres femmes. Celles qui souffrent peut-être comme moi, pendant des années, sans savoir d’où vient le problème. »

 

Pour Bayer, aucun lien n'est prouvé entre les implants et les symptômes décrits.


"Douleurs intenses, hémorragies… la dangerosité d’un implant contraceptif de Bayer confirmée"

ACTU.FR - La Marne

18 février 2020

 

"Une étude vient de démontrer que les implants Essure, commercialisés par le laboratoire Bayer, contiennent de l'étain qui se répand dans le corps.

[...] Une récente étude, menée par le laboratoire lyonnais Minapath, a mis en évidence, dans neuf cas sur dix, la présence d’étain dans le corps des femmes ayant reçu un implant contraceptif Essure. Ce métal, issu de la détérioration des soudures de l’implant, peut se transformer en composés très toxiques, les organoétains, et provoquer de graves complications."[...]


Essure® : l'État attaqué pour sa responsabilité dans la toxicité des implants de contraception définitive

 

EXPRESSIONS

12 février 2020

 

En région lyonnaise, un laboratoire indépendant tend à démontrer la toxicité des implants, notamment autour de l'étain relâché dans le corps des victimes, via la soudure du dispositif médical.


"De l'étain relâché dans le corps de patientes par les implants Essure® : la confirmation d'un laboratoire lyonnais"

 

FRANCE 3 AUVERGNE RHÔNE ALPES

3 février 2020

 

"De nouvelles analyses menées par le laboratoire lyonnais Minapath ont livré d'inquiétantes informations sur les implants Essure. Elles auraient montré que le dispositif de contraception définitive relâchait de l'étain dans l'organisme des patientes implantées."

[...]

 

"Créée en 2016, l’association Resist regroupe des victimes de défaillances des implants Essure. Elle les accompagne dans leurs démarches médicales, administratives et juridiques" [...]


"Implants contraceptifs Essure® : le relargage de l’étain dans le corps est confirmé"

LE DAUPHINÉ

3 février 2020

 

"Le laboratoire lyonnais Minapath a procédé à des analyses de tissus utérins de 25 patientes. Elles montrent un relargage de ce métal dans plus de 90 % des cas et confirment la corrosion de ce dispositif de contraception définitive. Explications et conséquences.

 

[...] Mais, en fait, cette corrosion avait été mise en évidence dès 2004, dans une étude menée par le fabricant (Conceptus à l’époque), deux ans après que le dispositif a reçu son AMM (Autorisation de mise sur le marché). « On voit qu’entre trois et six mois, la soudure se corrode beaucoup et qu’elle relâche de l’étain. Quand on lit ça, c’est invraisemblable. En fait, le dispositif se corrode tout le temps », s’exclame le Dr Vincent, co-auteur avec d’autres scientifiques, d’un article sur les dix premières patientes, qui vient d’être soumis à l’European Journal of Obstetrics and Gynecology. [...]"